Le pouvoir doit continuellement se justifier de cette décision. C'est alors que Kellyanne Conway, conseillère en communication lors de la campagne Trump et maintenant responsable de la communication du Président intervient. Elle parle alors dans une interview, pour justifier la décision, d'un attentat qui n'a jamais eu lieu (lien). Le massacre de Bowling Green. En réalité c'est après avoir déjoué un plan d’irakiens voulant s'en prendre aux forces armées américaines que le Président Obama décida de revoir l'ensemble des autorisations d'entrée des irakiens à l'époque et gela provisoirement leurs arrivées. Mais en plus de citer un massacre qui n'a pas eu lieu, elle évoque une histoire cachée par les médias et le pouvoir.
Rétro-pédalant par la suite elle justifie que l'arrestation des deux terroristes (prenant 40 ans de prison au passage) n'a pas été couverte par les médias. Encore faux. Toujours est-il que de nombreuses villes décident de rentrer en "resistances", rendent fou de rage le Président Trump qui a vu son décret anti-immigration recalé par un juge.
Because the ban was lifted by a judge, many very bad and dangerous people may be pouring into our country. A terrible decision— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) February 4, 2017
MAKE AMERICA GREAT AGAIN!— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) February 4, 2017
Cette semaine a encore été suivie d'une allocution hebdomadaire.
A rajouter encore de nombreuses gesticulations et une annonce pour déréguler la finance et les normes environnementales. Lors de la semaine de prière, on a eu le droit à un clash avec ... Schwarzenegger. Ce dernier a repris l'émission Tv de Trump et le POTUS a ricané sur ses mauvaises audiences.
Cette présidence semble entièrement tournée sur la polémique et surtout un lien direct entre le pouvoir et les américains.
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