Un million d'emplois. Super Trump a créé 1 million d'emplois.
Pendant sa campagne le candidat Trump ne croyait pas aux chiffres officiels (lien). Il disait que le taux de chômeurs était plutôt de 40%, et les Etat-Unis au bord du précipice. Maintenant, il reprend les chiffres officiels qu'il critiquait avant pour s'adjuger les lauriers de son travail actuel. Les mêmes statistiques, les mêmes sources. A y regarder de près, la courbe de chômage a chuté pendant la Présidence Obama. Le Président n'est rien d'autre que dans la continuité de la politique et la conjoncture précédente. Les effets de ses ordonnances (aucune grande loi de finance n'a été votée) seraient-elles déjà visible ?
Le 15 août et le week-end précédent, de nombreux conseillers ont encore quitté la barque Trump (lien), de quoi encore ajouter du chaos à la maison blanche (Lien). La dernière vague est intervenue suite aux événements dramatiques de Charlotesville (Virginie).
Rassemblés pour protester contre le démontage d'une statue représentant le Général Lee (Général des confédérés, les Etats Sudiste pour l'esclavage lors de la guerre civile), les mouvements de l'alt-right ont été au centre de l'attention à Charlotesville (Virginie)(lien). Cette "Union des droites" rassemblait entre autre le KKK, des suprématistes blancs et des Nazis (lien 1 - lien 2). Au-delà de "l'Histoire" avec le Général Lee, les slogans comme "Terre et sang" ou "Les juifs ne nous remplaceront pas" (lien) et leur accoutrement (casques, boucliers, armes) étaient des indices d'une certaine volonté de démonstration de force. Le besoin de s'exprimer et le sentiment d’oppression des manifestants furent rapidement contrariés par des contre-manifestants. Des échauffourées ont éclaté.
Le samedi, Heather Heyer perdu la vie, et une trentaines de personnes furent blessées. Le meurtre avec préméditation semble sans appel : le meurtrier (de l'extrême droite) a volontairement foncé sur la foule.
D'un point de vue moral, le pire sera a venir en 4 actes. Le premier est un non-acte. Le serial twittos de Président sera silencieux très longtemps avant le second acte pour dénoncer la violence des deux côtés (lien lien2 lien 3). L'indignation atteint alors son comble, surtout quand on connait toute la méfiance sur la position du Président avec ce genre sujet (racisme, opposition aux libéraux).
On many side. Le KKK et les suprématistes blancs saluèrent ces déclarations...Surprise, Lundi, le Président refait une déclaration où il condamne enfin clairement les groupes racistes dans le troisième acte. Mais ce ne fut pas la fin. Le Président se lança à nouveau dans un storm-twitt en re-twittant, puis supprimant une image montrant un Trump en forme de train écrasant CNN (lien), puis s'indigna du peu de couverture des violences à Chicago durant le week-end. Enfin, il prendra à nouveau la parole Mardi depuis New-York. Dans un échange ultra-tendu, il répondait sèchement aux "Fake News" dans sa plus pure tradition. Il reviendra donc sur ces déclarations précédentes, parlant de la violences des deux côtés, insultant l'intégrité des journalistes, et défendant le maintient des statues de confédérés (partie voulant le partage des USA) en les comparant aux pères de la nation (Washington et Jefferson). Il déclara être attaché aux faits et ne pas faire de déclarations à la vas-vite (sic). Dans le camps des manifestants de l'alt right il ne voit qu'une infinité de Nazi ou de suprématistes, mais beaucoup de gens biens. Il préfère mettre dos à dos les groupes nazis et "l'alt Left" (nom donné à la gauche par... l'extrême droite uniquement) qui n'avaient pas le droit de manifester. eux. Bref, sur le même niveau sont mis les contre-manifestants et le manifestants. CNN résume les points les plus choquants dans un article (lien).
"We condemn in the strongest possible terms this egregious display of hatred, bigotry and violence on many sides — on many sides,"
On many side. Le KKK et les suprématistes blancs saluèrent ces déclarations...Surprise, Lundi, le Président refait une déclaration où il condamne enfin clairement les groupes racistes dans le troisième acte. Mais ce ne fut pas la fin. Le Président se lança à nouveau dans un storm-twitt en re-twittant, puis supprimant une image montrant un Trump en forme de train écrasant CNN (lien), puis s'indigna du peu de couverture des violences à Chicago durant le week-end. Enfin, il prendra à nouveau la parole Mardi depuis New-York. Dans un échange ultra-tendu, il répondait sèchement aux "Fake News" dans sa plus pure tradition. Il reviendra donc sur ces déclarations précédentes, parlant de la violences des deux côtés, insultant l'intégrité des journalistes, et défendant le maintient des statues de confédérés (partie voulant le partage des USA) en les comparant aux pères de la nation (Washington et Jefferson). Il déclara être attaché aux faits et ne pas faire de déclarations à la vas-vite (sic). Dans le camps des manifestants de l'alt right il ne voit qu'une infinité de Nazi ou de suprématistes, mais beaucoup de gens biens. Il préfère mettre dos à dos les groupes nazis et "l'alt Left" (nom donné à la gauche par... l'extrême droite uniquement) qui n'avaient pas le droit de manifester. eux. Bref, sur le même niveau sont mis les contre-manifestants et le manifestants. CNN résume les points les plus choquants dans un article (lien).